Archives pour la catégorie «General»

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Leçon de fraternité par Régis Debray

Tout n’est pas encore perdu.

EARTHLINGS, le film que personne ne veut voir.

Voici un film pas comme les autres, dérangeant car il nous montre ce que nous ne voulons pas voir, notre cruauté, nos indifférence envers nos frères les animaux.
A voir donc.
Le site du film ici : http://www.earthlings.com/

Lumière d’Algérie.

A l’Algérie éternelle.

Poème écrit par Francine Merdjan, paru dans « Femmes d’aujourd’hui » de mars 1993.

Algérie, beau pays de rêves
de lumière et d’enchantement
tu es toute ma sève
et je t’aime
comme on aime une maman.

Je me souviens
des jours heureux de ma jeunesse,
de ces chemins
où je courais, pleine d’allégresse.
Alger, blanche capitale
mon cœur s’enflamme,
quand je te vois
Alger, ma ville natale,
toujours en moi tu vivras.
Poursuivre la lecture de «Lumière d’Algérie.»

J’aimerais decrocher.

Je passe un temps fou devant mon ordinateur, c’est affolant.
Parfois je me dis « tu vas passer ta vie devant cette machine »…
J’aimerais décrocher…
Comment faire ?
Etat végétatif

Bonaparte, Sarkozy, et la démocratie

http://kamizole.blog.lemonde.fr/files/2008/05/sarkozy-sarkonnerie-maximum-tolerance-zero.1211648369.jpg

Un très bon texte de Christian Delarue, sur Marianne2.fr

Bonaparte, Sarkozy, et la démocratie

On compare Sarko à Napoléon. C’est amusant, parfois. Mais la caricature serait presque trop ressemblante. Le régime sarkozyste n’est pas fasciste, ni dictatorial. Mais il s’éloigne peu à peu de la démocratie. L’opposition peureuse et les médias obéissants y sont pour quelque chose.

Evoquer le césarisme sarkozyste c’est diriger la lumière sur le personnage, ses discours et ses pratiques, c’est aussi diriger la lumière vers les médias et l’opposition. Le regard porté vers le personnage permet de faire des comparaisons avec des contemporains comme Berlusconi et au passage de montrer l’entourage : les courtisans, les petits et les grands, les « saigneurs » du prolétariat.

La comparaison montre aussi que le personnage autoritaire n’est pas un dictateur à l’image de l’Italie de Mussolini, de l’Espagne de Franco, du Portugal de Salazar, de la Grèce des Colonels, de la France de Pétain, etc. Cela ne tient pas à une autolimitation du personnage mais renvoie à l’analyse du contexte, celui des institutions qui restent de type « démocratie modeste » en voie de dépérissement, celui des dynamiques à l’œuvre et notamment des oppositions au César et à sa politique qui disposent d’une liberté d’expression.

Car le sarkozysme n’est pas une dictature militaire ni une dictature de notables. Le régime politique n’est pas dictatorial et encore moins fasciste, même si les traits de la forme pénale et policière de l’Etat se renforcent. Le peuple peut décider, peut voter, peut manifester. Il le peut d’une façon très limitée, très modeste mais il le peut. Pourquoi ne le fait-il pas ou si peu ? Il faudra tenter de répondre à cette question.

La suite ICI

Alain Badiou : De quoi Sarkozy est-il le nom ?

Un texte intéressant de ce grand penseur :

L’air de la calomnie

Par ALAIN BADIOU philosophe

Notre pays, depuis maintenant plusieurs décennies, est dans un tel état d’indignité au regard de son passé révolutionnaire ou même simplement progressiste, que les quelques voix fidèles à ce passé, tout en en recréant pour aujourd’hui les thèmes et les principes, dès qu’elles parviennent à se faire entendre dans l’abaissement général, deviennent des figures singulières. D’un côté, elles représentent pour quantité de gens un espoir presque déraisonnable. De l’autre, elles attirent évidemment des haines solides et le désir, lui tout à fait déraisonnable, de les faire taire.
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Pour le petit Jean…

Urgent aidez le svp
envoyé par patrickdu49 -

D’autres vidéos toutes aussi excellentes :

L’argent dette de Paul Grignon.

L’argent est partout, il nous condamne à une vie misérable dans la plupart des cas et parfois à une vie luxueuse.
Des gens sont prêt à tuer pour lui, d’autres risquent leurs vies…
L’argent finance des guerres, réduit des hommes à l’esclavage, renforce des dictateurs.
Il est le moteur de nos existences, sans lui nous ne sommes rien, c’est du moins ce que nous croyons…
Nous nous levons tous les matins pour lui, nous peinons toute notre vie pour lui, nous ravalons notre orgueil, nous obéissons à des chefs et parfois nous faisons des choses dégoutantes mais il faut bien gagner sa vie n’est-ce pas…
Payer nos factures, nos crédits, nos impôts…
L’État doit rembourser la dette et pour cela il ferme des écoles, dé rembourse des médicament utiles…
Tout cela nous le faisons pour l’argent car l’argent est rare… vraiment ?
Mais au fait comment est fabriqué l’argent ?
Vous le savez, vous ? vous croyez savoir…
En fait bien peu de gens ont une idée de la manière dont l’argent est crée.
Si vous le saviez vous seriez choqué.
Vous voulez être choqué ? et bien regardez ce film.

L’Argent Dette de Paul Grignon (Money as Debt FR) from Bankster on Vimeo.

Un discours qui a fait date.

Discours de Severn Cullis-Suzuki lors du Sommet de la Terre à Rio en 1992.
Quelle lucidité !

Une visite présidentielle…

Voici un reportage d’Arté sur la visite de sarkozy dans l’usine Plastic Omnium…
Quand on a vu ces images on comprend que ce pays qu’on appelle la France, n’a rien d’une démocratie.
Affligeant !

Etat de siège dans l’Ain : Sarkozy visite Plastic-Omnium…
Vidéo envoyée par Napakatbra

Sarkozy visitait jeudi 26 février 2009 un usine de Plastic-Omnium, à Sainte-Julie dans L’Ain.

La suite : http://www.LesMotsOntUnSens.com

Partager n’est pas voler.

Partager n’est pas voler from La Quadrature du Net on Vimeo.

Philippe Val à France Inter : Vengence du petit mussolini.

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Philippe Val vous connaissez ?
Oui oui, le mec qui a défiguré Charlie Hebdo, l’oeuvre du Professeur Choron, de Cavanna, de Delfeil de Ton et de tant de belles plumes, toujours mal élevées, toujours impertinentes, jamais résignées…  Siné, Gébé, Reiser, Cabu, Wolinsky et tant d’autres.
L’homme qui a réussi à faire chialer le vieux Cavanna qui ne reconnaissait plus son journal, défiguré, aligné sur la bien pensance de droite..
L’homme qui a calomnié Siné, l’homme qui l’a trainé dans la boue en l’accusant d’antisémitisme  pour ensuite le virer comme un malpropre à 80 balais…
Cet homme-là, ce procureur implacable, ce censeur, ce mussolini d’opérette, vient de prendre les rênes de France Inter… Récompensé de sa docilité, le clébard ump vient d’avoir son gros nonos, et pour en faire quoi ?!
Sitôt arrivé, première décision : virer Frédéric Pommier, chroniqueur de la matinale, ça commence bien…
Les deux hommes avaient eu un différent voilà peu, le premier reprochant au second d’avoir osé citer dans sa chronique le journal Sine Hebdo fondé par Sine après son éviction de Charlie.
Admirez l’élégance du procédé…
Oh mais que je suis mauvaise langue !
C’est vrai quoi, on aurait du mal à voir dans cette décision arbitraire une vengeance de bas étage, vile et lâche sans être taxé de parti pris.
On aurait du mal a imaginer que le désosseur de Charlie Hébdo s’abaisse à une telle vilénie sans passer sois même pour un médisant…
Je sens qu’on va s’amuser à France inter, va avoir comme un gout de moisi à l’antenne, un gout de vieille France… Je plains les journalistes de cette antenne s’il en reste encore…
Bon courage malgré tout.

En savoir plus ICI

STOP !
Tract intersyndical snj, snj-fo, snj-cgt, Sud
Les inquiétudes que la rédaction de France Inter nourrissait à l’annonce de l’arrivée de Philippe Val semblent hélas aussi fondées que les informations publiées il y a deux mois dans la presse au sujet de sa nomination. Poursuivre la lecture de «Philippe Val à France Inter : Vengence du petit mussolini.»

On a retrouvé le cheval de sarko

Un cavalier, qui surgit hors de la de la nuit
Court vers l’aventure au galop
Son nom, il le signe à la pointe de l’épée
D’un pet qui veut dire Sarko

Sarko, Sarko, nabot rusé qui fait sa loi
Zerro, Zerro, vainqueur, tu l’es à chaque fois

Sarko, sarkoooo